Ce qui restera
« Trempée dans une encre glaciale, la plume d’Issa Makhlouf réveille nos blessures et finit par nous écorcher l’âme. Se refusant au cri, à la démonstration, au trop-plein d’indignation, elle nous met dans la situation du témoin que la culpabilité finit par envahir, de la victime ayant trop de dignité pour s’abaisser aux plaintes.
Le murmure est donc roi dans ces textes. C’est le ton de la confidence, de l’invite au partage de ce que la poésie offre sans compter : émotions, plaisir intellectuel, contemplations, visions, fulgurances, évanescences, un mode de connaissance à part entière, autant d’éléments d’un voyage intérieur en gardant les yeux ouverts sur nos semblables et sur le monde où nous vivons.
Abdellatif Laâbi »
[présentation de l'éditeur]
Le murmure est donc roi dans ces textes. C’est le ton de la confidence, de l’invite au partage de ce que la poésie offre sans compter : émotions, plaisir intellectuel, contemplations, visions, fulgurances, évanescences, un mode de connaissance à part entière, autant d’éléments d’un voyage intérieur en gardant les yeux ouverts sur nos semblables et sur le monde où nous vivons.
Abdellatif Laâbi »
[présentation de l'éditeur]