Passeport
« Avec chaleur, tendresse et lucidité, Passeport explore la nostalgie et la définition du chez-soi, les enchevêtrements du cœur, la quête de l’amour véritable, le passage à l’âge adulte, la cruauté de la trahison, l’universalité de la douleur et la perte.
Il y est question d’exil, d’identité et de culture, de tradition et de modernité, de superstitions, de tabous et de secrets, des relations compliquées entre hommes et femmes, entre soi, la famille et la communauté, et entre les générations. On y rencontre principalement des femmes, de tous âges – fillettes, adolescentes, étudiantes, jeunes femmes, mères, grand-mères – mais aussi quelques hommes et des couples.
Ce sont des histoires écrites avec l’assurance, l’humour, la chaleur d’une écrivaine qui connaît précisément les vies des gens ordinaires, souvent déracinés, qui sont ses personnages. Pourtant, derrière l’apparente simplicité de ces textes, il y a souvent comme une tension dans l’air, un conflit en suspension prêt à éclater.
"Le goût de la tristesse est féroce, comme du sel qui s’acharne sur les lèvres."
La traductrice Patricia Houéfa Grange a évoqué à diverses reprises sur son site Internet www.papillonsdemots.fr sa rencontre avec le recueil de Noelle Q. de Jesus, la traduction d’abord d’une nouvelle pour la revue Jentayu, puis de l’intégralité du recueil pour son plaisir et bien sûr afin de pouvoir le proposer ensuite à un éditeur, la décision des éditions do de le publier et le travail collectif réalisé en vue de la parution du livre en octobre 2020.
Huit textes (pour le moment) absolument passionnants.
Le premier a pour titre Franchir les frontières. Les autres : Entrer dans la voix ; Déployer le souffle ; Le you et le po, le sexe des mots et l’œil de Vénus ; Blood, l’enfant do ; Baby blues du Passeport ; Empaillonné d’or et enfin Le temps du tennis. »
[présentation de l'éditeur]
Il y est question d’exil, d’identité et de culture, de tradition et de modernité, de superstitions, de tabous et de secrets, des relations compliquées entre hommes et femmes, entre soi, la famille et la communauté, et entre les générations. On y rencontre principalement des femmes, de tous âges – fillettes, adolescentes, étudiantes, jeunes femmes, mères, grand-mères – mais aussi quelques hommes et des couples.
Ce sont des histoires écrites avec l’assurance, l’humour, la chaleur d’une écrivaine qui connaît précisément les vies des gens ordinaires, souvent déracinés, qui sont ses personnages. Pourtant, derrière l’apparente simplicité de ces textes, il y a souvent comme une tension dans l’air, un conflit en suspension prêt à éclater.
"Le goût de la tristesse est féroce, comme du sel qui s’acharne sur les lèvres."
La traductrice Patricia Houéfa Grange a évoqué à diverses reprises sur son site Internet www.papillonsdemots.fr sa rencontre avec le recueil de Noelle Q. de Jesus, la traduction d’abord d’une nouvelle pour la revue Jentayu, puis de l’intégralité du recueil pour son plaisir et bien sûr afin de pouvoir le proposer ensuite à un éditeur, la décision des éditions do de le publier et le travail collectif réalisé en vue de la parution du livre en octobre 2020.
Huit textes (pour le moment) absolument passionnants.
Le premier a pour titre Franchir les frontières. Les autres : Entrer dans la voix ; Déployer le souffle ; Le you et le po, le sexe des mots et l’œil de Vénus ; Blood, l’enfant do ; Baby blues du Passeport ; Empaillonné d’or et enfin Le temps du tennis. »
[présentation de l'éditeur]