Manger des cœurs
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Manger des cœurs
Réunit :
Jean-Pierre Camus : Le Cœur mangé (XVIIe)
Renaut de Beaujeu : Lai d'Ignauré (XIIIe), traduit de l'ancien français par Franck Guyon
Guilhem de Cabestanh: Vida (XII-XIIe), traduit de l'ancien français par Stendhal
Jeanne Flore : Compte septième (XVIe)
« L'affaire relève d'une longue tradition. On en trouve trace jusqu'en Inde et en Sibérie. Et chaque fois le même scénario conduit l'intrigue. Un triangle : mari, femme, amant ; tromperies, secrets, puis découverte du pot aux roses, et puis vengeances des maris qui font en sorte que les cœurs des amants (et parfois même leur sexe) soient mangés par les femmes adultères. Voilà de quoi renverser finalement l'aventure courtoise en une mésaventure de premier plan. Quoi qu'il en soit, comme en miroir, dans l'un et l'autre cas, l'amour frappe toujours le cœur, l'arrache, le mord, le tord, le coupe, le croque et le dévore, métaphoriquement ou non.
Voici donc quatre histoires exemplaires de cœurs mangés, et même si les amants s'y font dévorer ce qu'ils ont de plus cher, leur cœur, et parfois plus encore, ces récits étonnants n'en demeurent pas moins subtilement savoureux. »
[présentation de l'éditeur]
Jean-Pierre Camus : Le Cœur mangé (XVIIe)
Renaut de Beaujeu : Lai d'Ignauré (XIIIe), traduit de l'ancien français par Franck Guyon
Guilhem de Cabestanh: Vida (XII-XIIe), traduit de l'ancien français par Stendhal
Jeanne Flore : Compte septième (XVIe)
« L'affaire relève d'une longue tradition. On en trouve trace jusqu'en Inde et en Sibérie. Et chaque fois le même scénario conduit l'intrigue. Un triangle : mari, femme, amant ; tromperies, secrets, puis découverte du pot aux roses, et puis vengeances des maris qui font en sorte que les cœurs des amants (et parfois même leur sexe) soient mangés par les femmes adultères. Voilà de quoi renverser finalement l'aventure courtoise en une mésaventure de premier plan. Quoi qu'il en soit, comme en miroir, dans l'un et l'autre cas, l'amour frappe toujours le cœur, l'arrache, le mord, le tord, le coupe, le croque et le dévore, métaphoriquement ou non.
Voici donc quatre histoires exemplaires de cœurs mangés, et même si les amants s'y font dévorer ce qu'ils ont de plus cher, leur cœur, et parfois plus encore, ces récits étonnants n'en demeurent pas moins subtilement savoureux. »
[présentation de l'éditeur]