Les Bienfaiteurs
« Voulez-vous être heureux ?
Une firme américaine commence à proposer un plan d’assurance pour apporter le bonheur à tous. Le prix est modique : tout ce que vous possédez. Josh Hunt, un homme guère heureux, est aussi sceptique que méfiant. Une escroquerie ne se cacherait-elle pas derrière cette offre ? Le bonheur parfait peut-il devenir un produit commercial ? Des premiers jours de l’hédonisme à son avènement mondial, le bonheur deviendrait-il soutenable ? Et au-delà, qu’adviendra-t-il de l’humanité si tout lui est offert ? Le paradis n’éteindra-t-il pas la race humaine ?
Petit maître de la science-fiction américaine disparu en 2020, James E. Gunn livre ici son chef-d’œuvre, traduit pour la première fois en France. D’une terrible actualité, avec sa quête d’un bonheur devenu presque vide de sens, son entreprise qui s’immisce jusque dans les replis les plus intimes de nos vies et ses applications de l’intelligence artificielle et de la réalité virtuelle, jusqu’à son final vertigineux – que ne renierait pas Philip K. Dick et préfigurant 50 ans plus tôt les questions posées par les films Matrix – Les Bienfaiteurs est une dystopie majeure, qui se hisse sans honte aux côtés du Meilleur des mondes, Un bonheur insoutenable et Kallocaïne. »
[présentation de la maison d'édition]
Une firme américaine commence à proposer un plan d’assurance pour apporter le bonheur à tous. Le prix est modique : tout ce que vous possédez. Josh Hunt, un homme guère heureux, est aussi sceptique que méfiant. Une escroquerie ne se cacherait-elle pas derrière cette offre ? Le bonheur parfait peut-il devenir un produit commercial ? Des premiers jours de l’hédonisme à son avènement mondial, le bonheur deviendrait-il soutenable ? Et au-delà, qu’adviendra-t-il de l’humanité si tout lui est offert ? Le paradis n’éteindra-t-il pas la race humaine ?
Petit maître de la science-fiction américaine disparu en 2020, James E. Gunn livre ici son chef-d’œuvre, traduit pour la première fois en France. D’une terrible actualité, avec sa quête d’un bonheur devenu presque vide de sens, son entreprise qui s’immisce jusque dans les replis les plus intimes de nos vies et ses applications de l’intelligence artificielle et de la réalité virtuelle, jusqu’à son final vertigineux – que ne renierait pas Philip K. Dick et préfigurant 50 ans plus tôt les questions posées par les films Matrix – Les Bienfaiteurs est une dystopie majeure, qui se hisse sans honte aux côtés du Meilleur des mondes, Un bonheur insoutenable et Kallocaïne. »
[présentation de la maison d'édition]