Le Maître de Ballantrae
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Le Maître de Ballantrae
Préface : François Angelier
« En 1745, l’Écosse se déchire entre les partisans du prince Charles, déchu du trône d’Angleterre, et ceux du roi George, qui lui a succédé. Dans la famille des Durie, nobles provinciaux, on s’affronte aussi : le fils aîné, James, s’engage aux côtés du rebelle, qui sera battu au milieu d’Écossais humiliés, quand son cadet Henry se voit obligé d’administrer le domaine. Disgracié et ayant perdu son rang, le libertin batailleur en rend injustement responsable son frère aussi vertueux qu’orgueilleux. Une implacable lutte fratricide va s’engager qui semble mettre en présence les figures du Bien et du Mal, entraînant le lecteur dans une course haletante, entre vengeance et impossible rédemption, poursuites et incroyables résurrections.
Avec un art et une maîtrise absolus, Stevenson dévoile dans ce roman souvent considéré comme son plus noir chef-d’œuvre, toute la complexité et l’ambiguïté de personnages consumés par une haine fraternelle. »
[résumé de la maison d'édition]
« En 1745, l’Écosse se déchire entre les partisans du prince Charles, déchu du trône d’Angleterre, et ceux du roi George, qui lui a succédé. Dans la famille des Durie, nobles provinciaux, on s’affronte aussi : le fils aîné, James, s’engage aux côtés du rebelle, qui sera battu au milieu d’Écossais humiliés, quand son cadet Henry se voit obligé d’administrer le domaine. Disgracié et ayant perdu son rang, le libertin batailleur en rend injustement responsable son frère aussi vertueux qu’orgueilleux. Une implacable lutte fratricide va s’engager qui semble mettre en présence les figures du Bien et du Mal, entraînant le lecteur dans une course haletante, entre vengeance et impossible rédemption, poursuites et incroyables résurrections.
Avec un art et une maîtrise absolus, Stevenson dévoile dans ce roman souvent considéré comme son plus noir chef-d’œuvre, toute la complexité et l’ambiguïté de personnages consumés par une haine fraternelle. »
[résumé de la maison d'édition]