Fauverie
« Tout commence par une lettre que reçoit Pascale Petit alors qu’elle revient d’un séjour en Amazonie. C’est une lettre de son père qu’elle n’a pas vu depuis trente-cinq ans, un père qui a abusé d’elle lorsqu’elle était enfant. Il est mourant et souhaite la revoir.
Elle décide alors de faire face à son "enfer personnel" et de l’affronter. C’est aussi pour elle un retour à Paris où elle a passé une partie de son enfance. Au zoo du Jardin des Plantes, elle tente de se remettre des éprouvantes visites dans "l’antre" du père. "Tous les chemins mènent à la Fauverie", écrit-elle.
Fascinée par le spectacle des félins, c’est dans l’osmose entre l’humain et l’animal qu’elle élabore une poésie d’une puissance imaginative extrême. Cela lui permet d’aborder les sujets les plus douloureux, de poursuivre sa quête de rédemption et de sublimer la souffrance par l’art. »
[présentation de l'éditeur]
Elle décide alors de faire face à son "enfer personnel" et de l’affronter. C’est aussi pour elle un retour à Paris où elle a passé une partie de son enfance. Au zoo du Jardin des Plantes, elle tente de se remettre des éprouvantes visites dans "l’antre" du père. "Tous les chemins mènent à la Fauverie", écrit-elle.
Fascinée par le spectacle des félins, c’est dans l’osmose entre l’humain et l’animal qu’elle élabore une poésie d’une puissance imaginative extrême. Cela lui permet d’aborder les sujets les plus douloureux, de poursuivre sa quête de rédemption et de sublimer la souffrance par l’art. »
[présentation de l'éditeur]