Elisabet
« Je suis resté entre ton départ et ma vie, quand papa m’a appelé pour tout me raconter.
Avec un sens typiquement finlandais de l’auto-dérision, Elisabet explore la zone floue qui sépare (ou unit ?) le grotesque et le sublime, le matérialisme le plus trivial et les mystères de l’univers. Comme dans O, son roman-monstre à succès, Miki Liukkonen y révèle son goût pour les références historiques, les énumérations, la mise en scène narcissique de l’artiste iconique… et pour les associations d’images et d’idées les plus imprévisibles. Au cœur de cette aventure de jeunesse débridée, le motif du deuil et la manière dont l’auteur l’aborde apportent une profondeur poignante. En effet, l’Elisabet qui donne son nom au recueil, c’est la mère du poète adolescent, morte en 2008. »
[présentation de l'éditeur]
Avec un sens typiquement finlandais de l’auto-dérision, Elisabet explore la zone floue qui sépare (ou unit ?) le grotesque et le sublime, le matérialisme le plus trivial et les mystères de l’univers. Comme dans O, son roman-monstre à succès, Miki Liukkonen y révèle son goût pour les références historiques, les énumérations, la mise en scène narcissique de l’artiste iconique… et pour les associations d’images et d’idées les plus imprévisibles. Au cœur de cette aventure de jeunesse débridée, le motif du deuil et la manière dont l’auteur l’aborde apportent une profondeur poignante. En effet, l’Elisabet qui donne son nom au recueil, c’est la mère du poète adolescent, morte en 2008. »
[présentation de l'éditeur]