Le Nuage pourpre
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Le Nuage pourpre
Préface de Roger Dobson
« Adam a conquis le Pôle Nord en solitaire, conscient cependant d’avoir déréglé l’ordre du monde. À son retour, il réalise que lui seul a été épargné par l’immense nuage pourpre qui est passé en détruisant l’humanité. La Terre est désormais silencieuse, comme figée. Les traces de l’homme y sont partout, vaines, innombrables. En découvrant ce monde qu’il arpente, l’ultime survivant va tenter de donner un sens à sa présence absurde, semant pendant des années, tel un démiurge fou, un feu dont il espère la lumière. Mais au cœur de cet Eden infernal l’attend la chance d’une rédemption…
Imaginé en 1901, ce roman post-apocalyptique hallucinant qui égale les chefs d’œuvres de Wells, n’a aucun équivalent dans la littérature mondiale. M.P. Shiel y déploie un art baroque de la démesure qui laisse pantois son lecteur plus d’un siècle après sa sortie.
Un classique visionnaire du roman de science-fiction.»
[présentation de l'éditeur]
« Adam a conquis le Pôle Nord en solitaire, conscient cependant d’avoir déréglé l’ordre du monde. À son retour, il réalise que lui seul a été épargné par l’immense nuage pourpre qui est passé en détruisant l’humanité. La Terre est désormais silencieuse, comme figée. Les traces de l’homme y sont partout, vaines, innombrables. En découvrant ce monde qu’il arpente, l’ultime survivant va tenter de donner un sens à sa présence absurde, semant pendant des années, tel un démiurge fou, un feu dont il espère la lumière. Mais au cœur de cet Eden infernal l’attend la chance d’une rédemption…
Imaginé en 1901, ce roman post-apocalyptique hallucinant qui égale les chefs d’œuvres de Wells, n’a aucun équivalent dans la littérature mondiale. M.P. Shiel y déploie un art baroque de la démesure qui laisse pantois son lecteur plus d’un siècle après sa sortie.
Un classique visionnaire du roman de science-fiction.»
[présentation de l'éditeur]