Le 7 juillet
« Un récit intelligent, virtuose, sur les célèbres encierros de Pampelune : le 7 juillet, coup d’envoi des fêtes de la San Fermín, vu par un coureur différent des autres. Journaliste et surtout écrivain, Chapu Apaolaza joint l’observation à la mémoire. Rien ne lui échappe. Dans ce livre empreint de vacarme et d’odeurs, on passe de l’adrénaline... à une étrange quiétude. On y croise des types sourds qui, lorsqu’ils courent, ressentent l’électricité du taureau dans leur dos, des chirurgiens qui tremblent, des blessés qui tâtent le sol à la recherche de leurs lunettes et des femmes qui donnent des leçons à des coureurs paternalistes.
Le 7 juillet parle de la peur, de la mort, du hasard et de l’anxiété, mais aussi de la joie, de l’euphorie, et de l’intensité de la lumière du matin après le passage du troupeau. »
[présentation de l'éditeur]
Le 7 juillet parle de la peur, de la mort, du hasard et de l’anxiété, mais aussi de la joie, de l’euphorie, et de l’intensité de la lumière du matin après le passage du troupeau. »
[présentation de l'éditeur]