Crépuscules d'impressionniste
Crépuscules d'impressionniste
«Le recueil que l’auteur rassemble ici pour la première fois, des poèmes écrits entre 1982 et 2016, rend compte de son long exil européen.
Fier de n’avoir pas "courbé l’échine sous la faucille et le marteau", admiré de Brodsky et Soljenitsyne, le poète sera finalement revenu vivre dans "l’ursine Russie", admettant avoir "rendu les armes".
S’il a survécu à une vie d’errance, c’est par son sentiment de l’infaillible beauté, toiles des peintres, musique ou paysages.
"La poésie de Iouri Koublanovski se distingue par sa fidélité à la tradition poétique russe, un métaphorisme inédit, qui n’est jamais insistant ni excentrique, mais toujours justifié, et une souplesse naturelle du vers qui demande souvent à être relu et mémorisé." Alexandre Soljenitsyne
"Iouri Koublanovski possède sans doute le lexique le plus fourni après Pasternak. L’un de ses procédés favoris consiste à varier la longueur des vers, ce qui fait naître comme un écho sous sa plume qui semble transporter jusqu’à notre ouïe à travers l’épaisseur du temps la note la plus haute et la plus pure jamais atteinte dans la poésie russe." Joseph Brodsky»
[présentation de l'éditeur]
Fier de n’avoir pas "courbé l’échine sous la faucille et le marteau", admiré de Brodsky et Soljenitsyne, le poète sera finalement revenu vivre dans "l’ursine Russie", admettant avoir "rendu les armes".
S’il a survécu à une vie d’errance, c’est par son sentiment de l’infaillible beauté, toiles des peintres, musique ou paysages.
"La poésie de Iouri Koublanovski se distingue par sa fidélité à la tradition poétique russe, un métaphorisme inédit, qui n’est jamais insistant ni excentrique, mais toujours justifié, et une souplesse naturelle du vers qui demande souvent à être relu et mémorisé." Alexandre Soljenitsyne
"Iouri Koublanovski possède sans doute le lexique le plus fourni après Pasternak. L’un de ses procédés favoris consiste à varier la longueur des vers, ce qui fait naître comme un écho sous sa plume qui semble transporter jusqu’à notre ouïe à travers l’épaisseur du temps la note la plus haute et la plus pure jamais atteinte dans la poésie russe." Joseph Brodsky»
[présentation de l'éditeur]