Rio Bravo
Rio Bravo
« Apprenant que son frère a été jeté en prison, un grand propriétaire terrien et sa petite armée de tueurs à gages menacent d'envahir la ville dans Rio Bravo, le magnifique western de Howard Hawks de 1958. La seule résistance qui se dresse devant eux est un groupe hétéroclite centré autour du shérif Chance (John Wayne) : un adjoint au bout du rouleau (Dean Martin), une joueuse itinérante (Angie Dickinson), un vieux fermier exproprié (Waiter Brennan) et un pistolero au visage d'ange (Ricky Nelson). Ensemble, ils décident de faire front. Rio Bravo compose une trilogie officieuse avec Seuls les anges ont des ailes (1939) et Le Port de l'angoisse (1944), qui traite des thèmes hawksiens de l'estime de soi et de l'amitié avec une subtilité, un humour et une tendresse exquis. Rio Bravo en est toutefois l'aboutissement le plus parfait.
Pour Robin Wood, ii s'agit peut-être du plus grand film américain, la quintessence de l'art collaboratif du système des studios, caractérisé par les performances exceptionnelles de légendes hollywoodiennes et de quelques nouveaux venus et par la maîtrise absolue des techniques de mise en scène classiques de Hawks. Encore plus important, Rio Bravo s'adresse à d'éternelles interrogations humaines : trouver la valeur de nos vies même face à ses difficultés. "Rio Bravo reste, écrit Wood, au-delà de la politique, un argument nous expliquant pourquoi nous devrions continuer à vouloir vivre et nous battre ensemble." »
[résumé de l'éditeur]
Pour Robin Wood, ii s'agit peut-être du plus grand film américain, la quintessence de l'art collaboratif du système des studios, caractérisé par les performances exceptionnelles de légendes hollywoodiennes et de quelques nouveaux venus et par la maîtrise absolue des techniques de mise en scène classiques de Hawks. Encore plus important, Rio Bravo s'adresse à d'éternelles interrogations humaines : trouver la valeur de nos vies même face à ses difficultés. "Rio Bravo reste, écrit Wood, au-delà de la politique, un argument nous expliquant pourquoi nous devrions continuer à vouloir vivre et nous battre ensemble." »
[résumé de l'éditeur]