Les Ombres de l'Araguaia
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Les Ombres de l'Araguaia
« Ni vivant ni mort, Leonardo a disparu. Il avait 20 ans et voulait changer le monde, une dictature impitoyable dominait le Brésil. Pour Sofia, sa petite sœur, il était un dieu. Les années ont passé et le vide ne s’est pas comblé. Le père est mort, la mère s’est enfermée dans son chagrin et Sofia, étouffée par cette absence, part à la recherche du disparu.
Au cours d’une enquête, qui l’amène sur les chemins de la clandestinité révolutionnaire en lutte contre la dictature, un ami lui fait parvenir un cahier étrange. Il raconte à deux voix une forêt amazonienne à la fois magnifique et mortelle ainsi qu’une vie quotidienne éprouvante dans l’Araguaia, région d’Amazonie choisie dans les années 70 par un groupe d’étudiants utopistes pour créer une guérilla de libération des paysans. Ils étaient une soixantaine, on envoya 10 000 soldats pour les combattre. Il y eut peu de rescapés.
D’où vient ce carnet, pourquoi tant de mystères sur son origine ? Qui a écrit ce récit déchirant, pourquoi deux écritures mêlées ? Qui l’a fait remettre à Sofia ? Que cache le silence de sa mère ?
Avec une grande énergie dramatique, dans une langue sèche et concise, Guiomar de Grammont écrit un beau texte émouvant qui interroge le passé d’un pays qui se veut sans mémoire.. »
[4e de couverture]
Au cours d’une enquête, qui l’amène sur les chemins de la clandestinité révolutionnaire en lutte contre la dictature, un ami lui fait parvenir un cahier étrange. Il raconte à deux voix une forêt amazonienne à la fois magnifique et mortelle ainsi qu’une vie quotidienne éprouvante dans l’Araguaia, région d’Amazonie choisie dans les années 70 par un groupe d’étudiants utopistes pour créer une guérilla de libération des paysans. Ils étaient une soixantaine, on envoya 10 000 soldats pour les combattre. Il y eut peu de rescapés.
D’où vient ce carnet, pourquoi tant de mystères sur son origine ? Qui a écrit ce récit déchirant, pourquoi deux écritures mêlées ? Qui l’a fait remettre à Sofia ? Que cache le silence de sa mère ?
Avec une grande énergie dramatique, dans une langue sèche et concise, Guiomar de Grammont écrit un beau texte émouvant qui interroge le passé d’un pays qui se veut sans mémoire.. »
[4e de couverture]