Lettres à Jean-Marie Zemb, 1958-1998
Lettres à Jean-Marie Zemb, 1958-1998
Préface de Hans-Werner Eroms (préface bilingue français-allemand)
édition préparée et présentée par Thérèse Robin
« Ces lettres de Jean Fourquet (1899-2001) à Jean-Marie Zemb (1928-2007) ont été retrouvées par Christine Jacquet-Pfau lors de l'établissement des archives Zemb au Collège de France. Leur publication constitue la première étape d'un projet plus vaste d'exploitation de ces archives.
Jean Fourquet ne semble pas avoir conservé les réponses de Jean-Marie Zemb ; les cinq que l'on possède ont été retrouvées dans l'ordinateur de ce dernier.
L'ensemble donne cependant une vision précise de ce que furent leurs relations au plan personnel et scientifique. Pour Jean Fourquet, Jean-Marie Zemb est un élève qui devient un maître. Pour Jean-Marie Zemb. Jean Fourquet reste le maître. Il en conserve les lettres, souvent sans les enveloppes ou sans les indications qui permettraient de les classer chronologiquement.
Ces lettres sont illustrées de nombreux schémas et graphiques. Fourquet explique ses travaux, établit des correspondances entre leurs apports respectifs, critique les articles et les livres de Zemb et l'amène parfois à modifier ses idées. Sa longévité exceptionnelle lui a permis de poursuivre les échanges de 1958 à 1998. On découvre au fil des pages combien ces deux linguistes ont contribué aux progrès des connaissances sur l'allemand moderne. Hans-Werner Eroms, qui les a bien connus tous deux, a rédigé la préface par amitié. »
[présentation de l'éditeur]
édition préparée et présentée par Thérèse Robin
« Ces lettres de Jean Fourquet (1899-2001) à Jean-Marie Zemb (1928-2007) ont été retrouvées par Christine Jacquet-Pfau lors de l'établissement des archives Zemb au Collège de France. Leur publication constitue la première étape d'un projet plus vaste d'exploitation de ces archives.
Jean Fourquet ne semble pas avoir conservé les réponses de Jean-Marie Zemb ; les cinq que l'on possède ont été retrouvées dans l'ordinateur de ce dernier.
L'ensemble donne cependant une vision précise de ce que furent leurs relations au plan personnel et scientifique. Pour Jean Fourquet, Jean-Marie Zemb est un élève qui devient un maître. Pour Jean-Marie Zemb. Jean Fourquet reste le maître. Il en conserve les lettres, souvent sans les enveloppes ou sans les indications qui permettraient de les classer chronologiquement.
Ces lettres sont illustrées de nombreux schémas et graphiques. Fourquet explique ses travaux, établit des correspondances entre leurs apports respectifs, critique les articles et les livres de Zemb et l'amène parfois à modifier ses idées. Sa longévité exceptionnelle lui a permis de poursuivre les échanges de 1958 à 1998. On découvre au fil des pages combien ces deux linguistes ont contribué aux progrès des connaissances sur l'allemand moderne. Hans-Werner Eroms, qui les a bien connus tous deux, a rédigé la préface par amitié. »
[présentation de l'éditeur]