Restos humanos
Restos humanos
« Chaque matin, Empédocles se rend au marché. Là, bravant les insultes et les jets de tomates pourries, ce "saint laïc" autoproclamé se lance dans un de ses fameux prêches. C'est que l'énergumène croit dur comme fer à sa seule et unique cause : rendre ses semblables meilleurs.
Entre un sermon sur la vertu aux prostituées du bordel voisin, une parabole sur la piété filiale au fils junkie des poissonniers et l'absolution des fautes de Childeberto, géant libidineux à l'oeil fou, rien ne saurait le détourner de sa mission sur terre.
Rien, si ce n'est son diable de frère. Un manipulateur cynique, prêt à toutes les horreurs pour prendre le contrôle de la ville et qui le contraint bientôt à un étrange trafic. Et le pauvre Empédocles de comprendre à ses dépens que dans un monde où tout semble déjà perdu, même le plus charitable des hommes ne saurait s'obstiner à vouloir changer la nature humaine...
Après La Fête de l'ours ou Dis-leur qu'ils ne sont que cadavres, la nouvelle folie de Jordi Soler. Portée par une galerie de personnages aussi loufoques que fascinants, une farce noire qui brocarde avec panache nos sociétés gangrenées par la corruption. »
[4e de couverture]
Entre un sermon sur la vertu aux prostituées du bordel voisin, une parabole sur la piété filiale au fils junkie des poissonniers et l'absolution des fautes de Childeberto, géant libidineux à l'oeil fou, rien ne saurait le détourner de sa mission sur terre.
Rien, si ce n'est son diable de frère. Un manipulateur cynique, prêt à toutes les horreurs pour prendre le contrôle de la ville et qui le contraint bientôt à un étrange trafic. Et le pauvre Empédocles de comprendre à ses dépens que dans un monde où tout semble déjà perdu, même le plus charitable des hommes ne saurait s'obstiner à vouloir changer la nature humaine...
Après La Fête de l'ours ou Dis-leur qu'ils ne sont que cadavres, la nouvelle folie de Jordi Soler. Portée par une galerie de personnages aussi loufoques que fascinants, une farce noire qui brocarde avec panache nos sociétés gangrenées par la corruption. »
[4e de couverture]