Nous sommes tous mortels
Nous sommes tous mortels
Ce qui compte vraiment en fin de vie
« La mort est souvent perçue comme une injustice, un échec, une souffrance continue. L'allongement de l'espérance de vie dans nos sociétés occidentales, qui nous a éloignés des réalités de notre condition de mortels, y est assurément pour quelque chose. La pratique médicale aussi, qui a tendance à multiplier les soins et les traitements coûte que coûte, même quand l'espoir n'est plus permis.
Face à cet état de fait, le chirurgien Atul Gawande s'interroge sur la mort et les limites de la médecine, et pose une question fondamentale : au crépuscule d'une vie, comment continuer à mener une existence aussi riche que possible ? Nombre de solutions existent, et une structure adaptée permet de gagner en qualité de vie. Atul Gawande l'illustre en racontant des histoires, parfois bouleversantes, et livre un véritable plaidoyer pour une médecine qui saurait écouter et discuter avec les patients de leurs désirs et de leurs peurs.
À travers son approche humaniste de la question de la fin de vie, Atul Gawande a provoqué un vrai phénomène aux États-Unis, démontrant que la mort peut être apprivoisée et acceptée, et que l'on peut profiter jusqu'à la fin d'une vie pleine de sens, de satisfactions et de plaisirs. »
[4e de couverture]
« La mort est souvent perçue comme une injustice, un échec, une souffrance continue. L'allongement de l'espérance de vie dans nos sociétés occidentales, qui nous a éloignés des réalités de notre condition de mortels, y est assurément pour quelque chose. La pratique médicale aussi, qui a tendance à multiplier les soins et les traitements coûte que coûte, même quand l'espoir n'est plus permis.
Face à cet état de fait, le chirurgien Atul Gawande s'interroge sur la mort et les limites de la médecine, et pose une question fondamentale : au crépuscule d'une vie, comment continuer à mener une existence aussi riche que possible ? Nombre de solutions existent, et une structure adaptée permet de gagner en qualité de vie. Atul Gawande l'illustre en racontant des histoires, parfois bouleversantes, et livre un véritable plaidoyer pour une médecine qui saurait écouter et discuter avec les patients de leurs désirs et de leurs peurs.
À travers son approche humaniste de la question de la fin de vie, Atul Gawande a provoqué un vrai phénomène aux États-Unis, démontrant que la mort peut être apprivoisée et acceptée, et que l'on peut profiter jusqu'à la fin d'une vie pleine de sens, de satisfactions et de plaisirs. »
[4e de couverture]