«Ma chère Emi, il est cinq heures du matin...» Lettres de tournages
«Ma chère Emi, il est cinq heures du matin...» Lettres de tournages
«15 juin 1964.
Une demande m'est arrivée d'Amérique pour publier en un volume l'ensemble des journaux que j'ai tenus. Je ne les ai pas écrits au nom d'une ambition littéraire. Cependant, l'idée que le public connaisse les coulisses d'un film et se rendre compte de tout le travail pénible qu'il faut pour en réaliser un m'amuse...
Comment travaillait Vittorio De Sica, l'un des plus grands réalisateurs italiens, cet homme qui, même avec quatre Oscars, abordait chaque nouveau film avec l'anxiété d'un débutant ? Adressé à sa fille, ce journal épistolaire est un fantastique aperçu des coulisses de quatre de ses longs-métrages : La Ciociara (1960), Hier, aujourd'hui et demain (1963), Mariage à l'italienne (1964) et Les Fleurs du soleil (1970).
Film après film, lettre après lettre, De Sica raconte les conditions de ses tournages. De la difficulté à faire jouer des enfants aux imprévus météorologiques, il nous fait partager ses passions et ses angoisses, nous invite dans sa relation fusionnelle avec la jeune Sophia Loren, au talent et à la volonté sans pareils. Entre fatigue et doutes, dîners et paillettes, la question de la création et de l'art est au centre de la réflexion du cinéaste.»
[4e de couverture]
Une demande m'est arrivée d'Amérique pour publier en un volume l'ensemble des journaux que j'ai tenus. Je ne les ai pas écrits au nom d'une ambition littéraire. Cependant, l'idée que le public connaisse les coulisses d'un film et se rendre compte de tout le travail pénible qu'il faut pour en réaliser un m'amuse...
Comment travaillait Vittorio De Sica, l'un des plus grands réalisateurs italiens, cet homme qui, même avec quatre Oscars, abordait chaque nouveau film avec l'anxiété d'un débutant ? Adressé à sa fille, ce journal épistolaire est un fantastique aperçu des coulisses de quatre de ses longs-métrages : La Ciociara (1960), Hier, aujourd'hui et demain (1963), Mariage à l'italienne (1964) et Les Fleurs du soleil (1970).
Film après film, lettre après lettre, De Sica raconte les conditions de ses tournages. De la difficulté à faire jouer des enfants aux imprévus météorologiques, il nous fait partager ses passions et ses angoisses, nous invite dans sa relation fusionnelle avec la jeune Sophia Loren, au talent et à la volonté sans pareils. Entre fatigue et doutes, dîners et paillettes, la question de la création et de l'art est au centre de la réflexion du cinéaste.»
[4e de couverture]