Au plus secret des îles
Au plus secret des îles
« Tim Flannery a parcouru les îles tropicales du Pacifique Sud-Ouest pendant plus d'une décennie à la recherche de marsupiaux, de chauves-souris et d'autres petits mammifères que l'on ne rencontre nulle part ailleurs sur notre planète. Plusieurs de ces îles étaient pour la science des pages vierges : l'équipe s'est aventurée dans des villages où personne, de mémoire d'homme, n'avait encore vu un visage blanc, et sur des sommets montagneux couronnés de végétation irréelle. Dans le grand arc insulaire situé entre l'île de Sulawesi et les Fidji (soit une distance supérieure à celle qui sépare Paris de Montréal), Flannery fait d'immenses découvertes, mettant au jour de véritables "fossiles vivants", mais aussi des indices fondamentaux pour la compréhension des rouages et des caprices de l'évolution.
Si la Polynésie offre souvent une perfection de carte postale, d'autres terres plus lointaines montrent un visage tourmenté, parfois hostile, surtout lorsque les obstacles géologiques se doublent du tabou des frayeurs ancestrales. Et c'est là que la petite équipe, surmontant les fatigues par un humour et un enthousiasme inépuisables, débusque des rats géants, des chauves-souris à tête de singe, le grand éclat de rire de la Création.
"Au plus secret des îles fait revivre l'époque bénie où le sens d'une aventure était de contribuer à notre connaissance du monde", écrit Colleen Mondor dans le magazine Booklist. »
[4e de couverture]
Si la Polynésie offre souvent une perfection de carte postale, d'autres terres plus lointaines montrent un visage tourmenté, parfois hostile, surtout lorsque les obstacles géologiques se doublent du tabou des frayeurs ancestrales. Et c'est là que la petite équipe, surmontant les fatigues par un humour et un enthousiasme inépuisables, débusque des rats géants, des chauves-souris à tête de singe, le grand éclat de rire de la Création.
"Au plus secret des îles fait revivre l'époque bénie où le sens d'une aventure était de contribuer à notre connaissance du monde", écrit Colleen Mondor dans le magazine Booklist. »
[4e de couverture]