L’association Matrana vous souhaite la bienvenue dans sa maison virtuelle – son tout nouveau site Internet dédié à la traduction littéraire et à celles et ceux qui la font vivre en région Nouvelle-Aquitaine.
Qui sommes-nous ?
Matrana a été fondée à Pessac le 15 juin 2017 par Corinne Chiaradia, Ariane Tapinos, Véronique Béghain, Évelyne Lagrange, Jean-Marc Robert et Natalie Zimmermann (de gauche à droite sur la photo). Ils-elles sont traductrices, éditrice, libraire, médiateurs du livre, unis par la conviction que la traduction est une richesse (… à défaut de rendre riches celles et ceux qui la pratiquent !), une invitation faite aux lecteurs à s’ouvrir à la pensée de l’étranger – aux pensées des étrangers – qu’elles se manifestent par des ouvrages philosophiques ou des livres pratiques, des bandes dessinées ou des recueils de poésie. Mais cette richesse, cette diversité, le rôle des traducteurs et des éditeurs de textes traduits sont encore souvent méconnus du public, peu valorisés, mal identifiés. Il n’est qu’à voir la faible proportion d’ouvrages traduits qui mentionnent en couverture le nom du-de la traductrice, la langue et le pays d’origine du livre…Matrana s’est donnée pour objectifs de :
- Promouvoir et mettre en valeur les métiers de la traduction littéraire.
- Valoriser la production éditoriale traduite en région Nouvelle-Aquitaine.
- Favoriser la reconnaissance du rôle du traducteur par les lecteurs.
- Être un lieu d’échange et de rencontres entre professionnels néo-aquitains.
Le site Internet : travaux en cours
Notre site est un « work in progress », un travail toujours en cours. Il présente en particulier 4 répertoires – Parutions / Éditeurs / Traducteurs / Résidences – forcément incomplets et perfectibles.Vous voulez nous signaler une erreur, un oubli, une information ? Contactez-nous ! contact@matrana.fr
La photo qui illustre la «Une» du site est un détail de la «Place des écriture» qui jouxte le Musée Champollion à Figeac, une place créée pour l’œuvre de Joseph Kosuth Ex Libris J.-F. Champollion, dalle en granit noir reproduisant l’inscription de la «pierre de Rosette». Rien à voir donc avec la région Nouvelle-Aquitaine, mais beaucoup avec la traduction, la transmission… et la liberté des artistes.